Premier navire de classe Quantum Ultra, le Spectrum of the Seas sillonne les mers du globe depuis avril 2018. Sa longueur de 347,2 mètres et sa capacité d’accueil de 5 622 passagers et 1551 membres d’équipage lui permettent de prendre la 7e place de ce top 10 !
Pour avoir l’occasion d’embarquer sur ce navire grandiose, il vous faudra faire quelques milliers de kilomètres et vous rendre jusqu’en Asie ! En effet, le Spectrum of the Seas a été spécialement conçu pour le marché chinois.
Ses passagers profitent de toutes les attractions et divertissements qui font la renommée des navires de classe Quantum : du Bionic Bar, au North Star – une plateforme d’observation à 360° qui vous emmène à plus de 90 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Le Spectrum of the Seas en quelques chiffres :
- 16 ponts et 17 ascenseurs
- 2 137 cabines et Suites
- 16 restaurants
- 7 bars
- 3 piscines
- 3 bains à remous
- 1 spa
- 1 solarium
- Et des activités à n’en plus finir !
Le bilan environnement de votre croisière
Empreinte carbone
Un voyage de 8 jours à bord d’un navire de croisière, dans une suite standard pour deux personnes avec 4 journées à quai, représente une empreinte carbone de 4,4 tonnes d’équivalent C02. Pour respecter les Accords de Paris, cette empreinte carbone ne devrait pas excéder les 2 tonnes d’équivalent C02 par personne et par an. Un seul trajet en croisière excède donc plus de deux fois le bilan carbone annuel dont nous disposons.
Pollution de l’air
- utilisation de fioul lourd, très néfaste pour l’air : émission d’oxydes de soufre (SOx), d’oxydes d’azote (NOx) et de particules fines (maladies respiratoires, cardiaques et pulmonaires, cancers mais aussi aggravation de l’asthme et des allergies) (seuil de pollution 500 fois plus élevé que les voitures diesel).
- Les fumées sont maintenant nettoyée (par des scrubbers) mais les résidus sont rejetés dans la mer !!
Pollution de la mer
- Rejets d’eaux usées non traitées (vaisselle, douche, toilettes, fond de cale, etc.) autorisés à plus de 12 miles marins de la terre ;
- Retombées des fumées, et depuis 2 ans, les rejets directs de très grande quantité d’eau polluée par l’utilisation de systèmes de nettoyage des fumées : les scrubbers.
